«Toute prison a sa fenêtre», disait Gilbert Gratiant. Pour Mohand-Saïd Mazouzi, le plus vieux prisonnier de guerre algérien, les fenêtres des pénitenciers où il a passé 17 ans de sa vie donnaient sur la cour du nationalisme.
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Identifiez-vousS'inscriremoi petit fils d'un mandéla algerien,je connais peu sur l'histoire revlutionnaire de mon grand père.Il s'agitde Mr HADDADI.ALI nè le 15/10/1913à DELLYS.Ilaété arrètè et écroué le09/11/1945 à serkadji;prison de tizi-ouzou;-blida-1951.-à1953-54.Puis transfèrè à la prison d'Avignon FRANCE.En 1956à la prisond'El-Asnam;et en 1960à EL-HARRACH.D'ou il estsortie leMois deMAI 1962.Il a passé 17 ANS de souffrances dans les géoles impérialistes (machine de dégradation et de mort lente);Mais réconfortéet galvanisé;il a sut résisterà cette monstueuse machine;Laissant dérrière lui mon père nèenJanvier 1946 etsa femme(ma grande-mère)qui ont souffert à leur tours durant 17 ANS des affres de la révolution; Ils sont restés de simples citoyens a nonymes;Mon grand-père est DCD LE 29 JUIN 1976 SUITES AUX GRAVES MALDIES5SEQUELLES)DES PRISONS POUR QUE LALGERIE LIBRE ET INDEPENDANTE .TON PETIT FILS.
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